La 6e édition du Salon des Ouvrages de Bande Dessinée (SoBD) se tiendra à Paris du 2 au 4 décembre 2016 à l’Espace des Blancs-Manteaux, 48 rue Vielle-du-Temple.

Affiche SoBD 2016

Après le Royaume-Uni et Taïwan les années précédentes, ce sera la Suède qui sera mise en lumière, avec une exposition et plusieurs conférences et tables rondes. Deux anciens de l’éditeur/libraire Futuropolis, Florence Cestac et Jean-Luc Cochet, en seront les invités d’honneur.

Ce salon principalement dédié aux livres et revues SUR la bande dessinée (bien qu’ouvert à quelques bouquinistes et éditeurs alternatifs tels Cornélius, La Cafetière, Les Requins Marteaux, Tartamudo, etc.) inaugurera pour la première fois un kiosque à revues, au sein du stand principal (stripologie.com). S’y succéderont les responsables de La Crypte Tonique (le samedi de 11h à 14h), Bananas (le samedi de 14h30 à 17h), Pré Carré (le samedi de 17h à 19h) et Papiers Nickelés (le dimanche de 16h à 18h).

Par ailleurs, Bananas qui a retranscrit cette année deux débats de l’édition 2015 (sur les auteurs-éditeurs et le discours sur la bande dessinée au Royaume-Uni) compte récidiver. Deux nouvelles tables rondes, « Traduire la bande dessinée » et « Fabriquer la bande dessinée », seront au sommaire du prochain numéro à paraître en février 2017.

Plus d’information sur www.sobd2016.com

Sans transition, je signale deux expositions qui ont retenu mon attention.

La première est consacrée à Charles Burns, à la galerie Martel (17 rue Martel, Paris – jusqu’au 3 décembre 2016), la seconde à Frédéric Poincelet, à la galerie Catherine Putman (40 rue Quincampoix, Paris – jusqu’au 23 décembre).

affiche_burns_2016

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Frédéric Poincelet (que l’on aperçoit ci-dessous sur la photo, le jour du vernissage, présentant son livre S NS T TR , du même nom que l’exposition) va revenir à la bande dessinée après quelques années d’absence. Je m’en réjouis d’avance.

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